Russie

ZABAIKALSKIE KAZAKI

Ensemble Chants et Danses – 40 artistes (Chœurs, Danses, Musique)

Ville de Tchita

Créé en 1991, cet Ensemble professionnel  propose un programme étroitement lié aux traditions cosaques. Il nous vient de la ville de Tchita, sur la ligne du transsibérien à plus de 6000 kms de Moscou.

Imaginez un instant que vous êtes dans un village sur les bords du de la rivière Ingoda, vous assistez à un mariage, aux courses de chevaux, à l’équitation des jeunes cosaques… et si vous ne comprenez rien aux chants d’amour que tout cosaque est capable d’écrire, vous ne pourrez qu’être saisi par le climat particulier de ces rencontres. Cet Ensemble est sans nul doute l’un des meilleurs dans cette région. Il nous apporte un spectacle plein de passion et de tempérament, un spectacle audacieux.  Il s’est notamment produit en Chine, Japon, Belarus, Grèce, Bulgarie.  Il produit plus de 200 concerts par an à travers la Russie. Les Cosaques proposent un spectacle époustouflant : leurs danseurs y jonglent avec des épées et avec leur corps. C‘est tout bonnement ébouriffant. Un danseur virevoltant s’empare de l’avant-scène, des acolytes s’affrontent au sabre, on n’a pas assez d’yeux pour tout voir. Les spectateurs sont « scotchés » au siège. Quelques minutes de débauche d’énergie par des danseurs qui sont de vrais athlètes. Ensuite, les Cosaques démontrent qu’ils sont d’excellents chanteurs et musiciens sur des airs traditionnels et populaires de leur région qui démarrent lentement et amènent in fine les spectateurs à battre la mesure et à frapper des mains. Jusqu’au tonnerre d’applaudissements qui ponctue leur prestation sans faille.

Constitué d’anciens membre du groupe de renommée internationale « Mastamo », le groupe Sidlangaloludzala (en abrégé « Sidla ») a été crée en 2008. Sidlangaloludzala signifie « retourner à notre mode de vie » ou « restaurer la tradition ». Et c’est bien l’objectif du groupe : promouvoir le patrimoine culturel des peuples d’Afrique du Sud et transmettre les traditions aux plus jeunes à travers l’apprentissage du chant, de la musique et de la danse. Chaque année, une trentaine de jeunes sont formés aux danses et chants traditionnels de la culture nguni, et plus spécifiquement des peuples swazi, zoulou, tswana et ndembele.

Dans l’histoire du pays, la danse a toujours été d’une grande importance. Elle a d’abord été une forme de célébration pour le culte des ancêtres ainsi qu’un moyen pour les guerriers de manifester leur force à l’approche du combat.

Dans un cadre plus social, la danse permet d’exprimer des sentiments amoureux ou d’extérioriser la joie après un heureux événement. La diversité des costumes racontent l’appartenance sociale : robes en batik rouge aux motifs géométrique, jupes et pagnes en peau de springbox ou cuir de vaches, costumes en angora.

Sur scène, accompagnés des chœurs polyphoniques majestueux, les danseurs et musiciens partagent avec énergie les scènes de la vie quotidienne : la chasse, le travail dans les champs ou bien les moments de joie pendant les mariages. L’une des danses probablement les plus populaires est la très rythmée danse zoulou que Johnny Clegg a contribué à faire connaître !